Qui sommes-nous ?
Fondée en 1971 à Granby, l’Auberge sous mon toit est un organisme communautaire dédié à l’accueil, à l’hébergement et à la réinsertion sociale des hommes en situation de vulnérabilité. Depuis plus de 50 ans, nous accompagnons ceux qui traversent des périodes de rupture — perte d’emploi, isolement, sortie de détention, sortie de thérapie, itinérance — en leur offrant un milieu de vie sécurisant et respectueux.
L’Auberge propose bien plus qu’un toit : elle offre un cadre humain, des services d’intervention individualisée, un soutien à la reprise du pouvoir d’agir et des passerelles vers une plus grande stabilité. Chaque année, près de 70 hommes trouvent ici un tremplin vers un avenir meilleur, et plus de 1 500 ont été accueillis depuis la fondation.
Notre action repose sur une approche bienveillante, rigoureuse et ancrée dans la communauté. Grâce à l’engagement de notre équipe et de nos partenaires, nous travaillons à bâtir un environnement où chaque homme peut se reconstruire dans la dignité.
Le quotidien à l’Auberge
Une journée typique à l’Auberge débute par un café, un moment d’échange informel avec les résidents. Chacun se prépare à son rythme, participe aux tâches communes et rencontre son intervenant pour faire le point sur les démarches en cours. Des ateliers de développement personnel sont offerts chaque semaine pour favoriser l’autonomie, la confiance. Les repas deviennent des occasions de créer des liens. Le soir venu, l’Auberge redevient un lieu de repos, de calme et de sécurité. C’est dans cette routine bienveillante que s’ancrent les pas vers un nouveau départ.
Ancré dans la communauté depuis 1971
C’est en 1970 que l’Abbé Gérard Bossé, Henriette Barré et Benoit Houle, les fondateurs de l’Auberge sous mon toit, identifient pour la première fois le besoin d’un centre d’hébergement et d’accueil pour des jeunes travailleurs itinérants de Granby.
Dès le 1er novembre 1971, l’ASMT accueille son premier résident. En 1972, une collaboration avec le Service correctionnel du Canada (SCC) débute. La même chose se produit avec le Service correctionnel du Québec (SCQ ou MSP) en 1976.